Quelle place pour le plaisir dans ce cadre extrême ?

Publié le 24 juillet 2025 à 14:26

Quand tu entres dans le programme Baby Slave, ton corps ne t’appartient plus.
Et avec lui, ton plaisir devient un outil — pas un droit.

Ici, ce n’est pas à toi de décider si tu as envie, besoin ou mérites du plaisir.
C’est Nurse Sady qui juge. Elle observe, contrôle, note, et décide.

Le plaisir est une variable de contrôle

Certains Baby Slaves reçoivent du plaisir comme récompense :
– après une bonne conduite,
– après une punition bien supportée,
– ou simplement parce que Nurse en a décidé ainsi.

Mais le plus souvent, le plaisir est retiré.
Par principe. Par punition. Par entraînement.

Tu peux passer des jours, des semaines, enfermé dans ta couche, en cage de chasteté, exposé à la frustration la plus pure.

 Tu n’es pas un adulte : tu es un objet sous régime

Ton sexe ne sert plus à jouir. Il sert à obéir.
Et Nurse décidera quand, comment, et si elle t’autorisera à l’utiliser.

Souviens-toi : ici, le plaisir n’est jamais pour toi, mais pour Elle, ou pour tester ton endurance mentale.

Objectif : reprogrammer ton désir

Le Baby Slave apprend à ne plus associer plaisir et contrôle.
Il apprend à supplier. À renoncer. À pleurer de frustration.
Et parfois, à être utilisé malgré lui.

C’est cette inversion des repères qui signe le véritable engagement.
Tu n’es pas ici pour “jouir” mais pour être déconstruit.

Tu veux du plaisir ?
Commence par le mériter.
Et même là… Nurse  Sady pourrait bien te dire non.
Juste pour t’apprendre à ne plus le réclamer.

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