Première nuit en gigoteuse fermée

Publié le 2 juillet 2025 à 16:18

Temps de lecture : ~6 minutes
Personnages : Maîtresse Sady & Julien, un baby slave un peu trop sûr de lui

Julien arrive avec son sac, visiblement excité et tendu. C’est sa première nuit complète sous la tutelle de Maîtresse Sady. Il a passé la journée à envoyer des messages, à dire qu’il “aime se laisser faire”, mais qu’il “n’a pas besoin de tout le folklore”, et qu’il a “des limites quand même”. Il l’a dit, redit… trop.

À peine la porte refermée derrière lui, une odeur douce d’amande et de talc lui monte au nez. Il entre dans la pièce : au sol, un grand tapis moelleux, une table à langer adulte… et au centre, une immense gigoteuse au motif dinosaure, ouverte, posée comme un piège.

Maîtresse Sady est déjà là.
Robe médicale à boutons. Regard direct. Gants en latex déjà mis.

MS (calme, froide) :
— Pose ton sac. Tu es en retard. Et tu ne m’as pas prévenue. Tu sais ce que ça veut dire, n’est-ce pas ?

Julien (gêné, faussement détendu) :
— Euh… pardon, je pensais que… que c’était pas trop grave…

MS :
— Tu penses encore. Tu devrais avoir arrêté dès que tu as passé cette porte. Retire tes vêtements. Lents et silencieux.

Julien obéit, tremblant. Il se retrouve en slip, le torse nu. Elle lui lance un regard.

MS:
— Tu espérais dormir habillé ? Ou juste en body ? Tu crois que tu mérites ça ?

Il ouvre la bouche, mais se ravise.

MS :
— Voilà. Enfin un silence utile. Allonge toi sur la table.

Il grimpe, mal assuré. Elle le couche d’autorité, tire le slip d’un geste sec, et nettoie sans ménagement son entrejambe avec une lingette froide. Il tente de se retenir, mais son membre se raidit.

MS (moqueuse, en attachant la couche à l’entrejambe) :
— Ah, on “n’a pas besoin de couche”, mais on se dresse comme un chiot quand on se fait essuyer… Pathétique.

Elle ferme la couche extra épaisse avec des bandes bien serrées. Puis elle l’aide à descendre, mais au lieu de l’emmener dans une chambre, elle le guide vers la gigoteuse géante posée au sol.

MS :
— Va dedans. Par toi-même.

Julien hésite.

Julien :
— C’est… c’est pour les bébés, ça.

Sady (sèche) :
— Non. Pour les mauvais bébés. Les bruyants. Les rebelles. Les fuyards. Ceux qui bougent pendant la nuit… comme toi.

Il obéit. Elle tire la gigoteuse jusqu’à sa poitrine, puis referme la fermeture éclair épaisse et sonore, jusqu’au menton. Puis elle ferme à clef et elle y ajoute trois sangles, autour du torse, et des mains.

Julien (sursautant) :
— C’est… c’est un peu serré !

Sady (doucement cruelle) :
— Oui. C’est fait pour. Comme ta couche. Comme ta vie désormais.

Elle place une tétine dans sa bouche. Il la repousse. Elle enfonce la version à sangle, et la boucle dans sa nuque.

Sady :
— Tu ne parleras plus ce soir. Et tu n’iras pas aux toilettes. Tu es couché. Tu es contenu. Tu es à moi. Et tu vas dormir comme un vrai bébé : immobile, impuissant, et humide.

Minuit.

Julien est réveillé. Il gigote. La couche gonfle. Il ne sait pas s’il a rêvé qu’il mouillait ou s’il le fait vraiment… Mais il ne peut rien faire. La gigoteuse est bien trop serrée. Ses bras restent bloqués à l’intérieur, croisés sur son torse comme un cocon étouffant.

Dehors, un bruit de pas. Maîtresse revient.

Elle entre, sans dire un mot. Pose la main sur sa couche. Sourit.

Sady (à mi-voix) :
Encore un qui disait qu’il n’avait pas besoin de ça…

Elle prend une photo. Il gémit à travers la tétine. Elle lui chuchote, glissant deux doigts entre les attaches :

Sady :
— Tu restes comme ça jusqu’à demain. Je verrai si tu mérites d’être changé. En attendant, tu as toute la nuit pour comprendre : tu n’es pas ici pour jouer. Tu es ici pour être remis à ta place. Et crois moi, cette place... tu vas l’humidifier encore plus.

Fin de la première nuit. Mais pas de la leçon.

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Commentaires

Quentin
il y a 2 jours

génial cette aventure